À propos
de moi

Aventure

« Si tu décides de garder cet enfant, tu seras coincée à la caisse du supermarché pour le restant de tes jours. »

Cette phrase a été prononcée par l’une de mes amies quand j’ai annoncé ma grossesse à l’âge de 19 ans, alors que j’étais en plein dans mes études de journalisme. Cette remarque a touché une peur profonde en moi : celle de ne pas être assez bonne et d’être rejetée.

C’est pourquoi j’ai travaillé comme une malade pour prouver qu’elle avait tort. Et j’ai réussi.

Ceci est un exemple parfait pour te montrer comme j’étais douée pour vivre selon les attentes et les opinions des autres.

À l’âge de 41 ans, j’ai réalisé que je devais changer de cap. Je devais faire d’autres choix et investir en moi-même. J’ai dû renouer avec moi-même, avec qui je suis profondément et avec ce que je veux être au fond de moi. Et juste au moment où j’ai pris conscience de cela, mon cheval Maestro est entré dans ma vie au grand galop.

C’est le jour où l’aventure a commencé. Maestro est devenu mon coach personnel, des années avant que le coaching assisté par les chevaux ne devienne une profession reconnue.  

Pas de cadre strict

Il m’a appris à écouter mon intuition et à ressentir la bonne réponse aux questions que je me posais. Il m’a montré ce qui était possible si je me donnais la liberté d’être qui je suis vraiment : drôle, joyeuse et légère. Je sais que cela peut sembler un peu ridicule, mais j’ai dû apprendre à me permettre d’apporter plus de joie dans ma vie. Lorsque j’ai commencé à travailler sur moi-même, j’ai vu chaque changement se refléter dans mon cheval. J’ai eu une rétroaction instantanée à chaque fois.

Mon voyage avec Maestro m’a appris qu’il n’y a pas de cadre strict en ce qui concerne la transformation personnelle. Je ne peux pas le faire si on me dit ce que je dois faire et comment le faire. J’ai besoin de faire les choses à ma manière. Même quand il s’agit de me faire coacher par mon cheval. Et j’ai trouvé ça très excitant. J’avais tellement peur de ne pas comprendre les messages de Maestro.

En réalité, c’était très simple. Tant que je permettais à Maestro d’être mon guide et que je me reconnectais avec mon intuition, j’étais capable d’entendre ses messages.

J’ose parler français devant la caméra

Maintenant, je sens que je suis rentrée en moi-même. Je suis maintenant la version adulte de l’enfant qui est en moi : impulsive, spontanée, folle, créative. Je suis beaucoup plus audacieuce.

J’ose parler français devant la caméra. J’ose monter sur scène pour inspirer des femmes comme toi à partir à la rencontre de leur or intérieur. J’ose faire des erreurs. J’ose être imparfaite. J’ose me mettre en lumière. Et j’ose prendre le risque que les autres pensent quelque-chose de moi lorsque je me montre tel que je suis vraiment.

Maestro ne pouvait tout simplement pas accepter que je reste petite, que je me taise et que je n’écoute pas mes sentiments.

Qu’est-ce que j’ai gagné en écoutant l’avis de mon amie quand j’avais 19 ans?

Eh bien, Frits (mon fils) est né un mois après mon vingtième anniversaire. J’ai fondé ma première entreprise à l’âge de 22 ans. Après six années de dur labeur en tant qu’écrivain et consultante dans mon propre bureau de productions journalistiques et de magazines, en enseignant en même temps à l’académie de journalisme et en étudiant les Ressources Humaines, je trouvais que j’avais vraiment réussi : j’ai obtenu un poste de directrice dans une municipalité à l’âge de 28 ans.

Mon amie qui avait dit que j’allais être caissière dans un supermarché s’était donc bien trompée, j’avais réussi.

J’ai dit “oui” à tous les projets au travail, j’ai suivi des formations en tant que coach et j’ai remplacé un collègue de mon équipe de direction qui était en arrêt maladie pour burn-out. Après trois ans, je ne pouvais plus supporter ce mode de vie: dire “oui” à tout le monde en me disant “non” à moi-même et travailler si dur pour que les autres m’admirent et que je mérite leur respect.

J’ai tout arrêté et suivi ma passion pour la gastronomie. J’ai donc commencé un nouveau projet avec Mart à l’âge de 32 ans : un mini-hôtel culinaire dans les Ardennes que nous avons finalement revendu en 2021.

Pendant ma vie de propriétaire d’hôtel, et après avoir disparu pendant 25 ans, les chevaux sont revenus dans ma vie. Et à l’âge de 41 ans, mon rêve d’enfant s’est finalement réalisé : j’ai eu mon premier cheval, Maestro. Et je devrais plutôt écrire : mon premier coach personnel est entré dans ma vie. C’est de ce formidable dont je te parlais.

Il est resté dans ma vie pendant 6 ans et malheureusement, suite à un tragique accident il est décédé très soudainement.

J’ai ressenti une partie de moi mourir lorsque Maestro est mort. Aragon, mon cheval frison, a alors pris sa relève. Aujourd’hui, c’est lui qui m’emmène encore plus profondément à l’intérieur de moi-même. Il m’invite à être silencieuse et à rester en accord avec ma sagesse intérieure, celle que j’ai développée pendant mes 50 années de vie. À chaque fois, je plonge un peu plus profondément en moi. Chaque jour, je continue de grandir grâce aux chevaux à mes côtés. Le développement personnel n’est jamais “terminé” et aujourd’hui, je vois nos potentiels illimités. 

Vis aussi ton plus grand or!

Arrête également de vivre selon l’avis et les attentes de tes parents, de ton partenaire, de tes professeurs ou de qui que ce soit d’autre. Découvre avec ton cheval tout l’or qui est caché en toi et vis-le enfin. Deviens la plus grande version de toi-même et laisse ton cheval t’aider à l’atteindre.

J’ai noté tout ce que j’ai découvert et appris pendant ma transformation avec Maestro. Et j’ai ajouté mes expériences et formations en tant que coach. J’ai créé une nouvelle formation unique dans le monde équestre, à ma sauce. Non, donc ce n’est pas un cadre strict et un concept “comme cela doit être”, j’y suis moi-même allergique. Ta transformation intérieure avec ton cheval est personnelle. C’est pourquoi ma formation vous offre, à toi et à ton cheval, l’espace pour faire les choses à votre manière et pour que tu obtiennes ce dont tu as besoin pour devenir la meilleure version de toi-même.

Ça aussi, c’est Monique Lavec!

Je bois un cappuccino le matin et j’aime la musique. Avant, je jouais de la flûte à bec et de l’orgue. Plus tard, quand je serai grande, j’aimerais apprendre à jouer du saxophone. J’adore la cuisine, la photographie, le yoga, le Pilates, le sport, la lecture et la peinture. Je suis Hollandaise et je porte des sabots. Je skie à la vitesse de l’éclair. J’aime le camping sauvage et j’ai des milliers d’idées. J’ai un grand cœur et j’aime la vie. Je déteste la pluie et la boue. J’ai peur de la technologie parce que j’ai peur de casser les appareils.